@César Castique

 les frontière sont les limite de sécurité nécessaire à toutes espèces pour vivre face à la prédation. il n’est donc pas anormal que nous y convenions, sauf que nous ne sommes plus à l’époque de Cro-Magnon et que nous avons acquis une connaissance du monde et de l’humain. s’il reste un prédateur potentiel l’éducation et la culture est là pour l’émancipé et regarder l’autre comme sont semblable. le fait que le nationalisme de tous pays représente un frein a l’universalité de l’espèce n’est pas une raison pour renoncer à faire un monde harmonieux quand les conditions socio-économiques ne sont pas seulement confrontation de prédateurs. Aujourd’hui nous avons les moyens de cela, sauf que c’est une évolution toute récente de notre moitié du 20 siècle dont seulement l’occident a bénéficié en s’appropriant les matières première dans les autres états. or la vie est une « roue qui tourne » et notre civilisation devra s’adapter ou succomber. l’espèce humaine est une et la terre n’a de frontière que l’espace que l’on ne peut pas quitter. quand nous aurons les moyens de nous rendre à Tokyo en 3h comme nous allons à paris le monde deviendra encor plus petit. enfin l’humanité n’est que l’ensemble de la communauté de notre espèce dites humaine. il est difficile de dénier cela, mais peut-être le nommes- tu différemment. imaginer que l’homme puisse exister individuellement en dehors de ceux qui lui donnent un nom et disent ce qu’il est, n’existe pas sauf à l"état animalier.

cordialement.