bakerstreet bakerstreet 17 août 2015 15:30

@gruni

Bonjour. oui, bien sür, il y a une sorte de relativisme du malheur. Quelques secondes de notre vie, un accident, une maladie, et nous avons une toute autre perception de la réalité. Faut il passer par un ce « non choix », pour évoluer, et transfigurer son regard ? 
La parabole de Boudah, fils de roi, et qui sortant de sont chateau s’aperçoit que la vie qu’on s’apprête à lui faire vivre est un mensonge, en lui cachant la réalité du monde est éclairante. Désormais il vivra dans la vérité, et le dénouement...une sorte de destin si transcendant qu’on se trouve bien lâche, trop humain, à coté de tels exemples. Néanmoins ils nous disent quelque chose sur le sens de la vie, et ses valeurs fondamentales, autant que la voie du mensonge à l’opposé. 

Où commence la richesse ? car quelqu’un qui ne manque de rien, qui est comblé au niveau des besoins avant d’avoir exprimé un manque, et d’attendre pour combler son désir, perd une partie de son humanité....Je pense qu’il y a beaucoup de gens riches en ce pays, qui refusent de l’admettre, plaçant astucieusement toujours la barre au dessus d’eux, s’affranchissant ainsi du devoir de partange. 
Ce n’est pas un crime en soi, mais cela devient une maladie, quand elle provoque ainsi une anesthésie des sens et des sensations, nous coupant des autres, de l’attention au monde. 

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