@Gabriel
« ...j’opterais pour la première solution si le courage ne me faisait pas défaut à l’instant suprême. »
On ne peut pas savoir si ce serait la panique ou un immense et total soulagement (que ce soit enfin fini !), mais à en juger par la passivité de l’immense majorité des condamnés, j’inclinerais à penser que la seconde attitude l’emporte.