egos 14 octobre 2015 16:07

Mécanique financière vs engineering social.


L’analyse, technique, précise & argumentée (de fait l’approche néo-libérale confirme ds 1 sorte de consensus théorique) n’occulterait elle pas le rôle et l’existence actifs sociaux (permanents) masqués mis à dispo par les états ie infrastructures, ressources (assimilables aux apports en nature) humaines (éducation, santé, justice etc ...) porté au passif du secteur productif pour valeur nulle (assimilables aux capitaux permanents) à la rétribution desquels les tenants de la version eco-livrable tendent à vouloir se soustraire ?

Que la rémunération du capital mis à disposition d’une projet (probalo en grec, se projeter en avant) soit perçue ss l’angle d’intérêts manquants ou la rétribution putative d’un activité anticipée nécessairement soumise à divers aléas, 
quelle serait la différence de nature de ces approches étant donné l’incertitude qui accompagne tte action humaine ?

L’idéologie néo-libérale (abondamment servie par les dérives des systèmes administrés) et l’éclatante (autant qu’apparente) réussite du modèle libéral-consumériste souffre du même défaut de conception objecté aux économies dirigées (tentatives communistes, mixtes, Marx lui même n’échappe par à cette critique ayant fondé ttes ses prédictions sur qqs postulats non vérifiés dont le + important parait être la prise de conscience du prolétariat) : un dogme figé autour d’un postulat central étayé par des postures manichéennes (notez que cette formule à démontré son efficacité, momentanée certes, ds la pub, la politique et les cabales financières à la Madoff)

Les thèses néo-libérales s’appuient néanmoins sur qqs fondements sérieux dont le Calviniste a livré les clés, le réussite récompenserait les vertus du travail et de la droiture (flexible),
version revisitée de Dieu reconnaitra les siens, 
si ce n’est lui la nature s’en chargera.

L’abondance de biens consécutive a cet acte de foi n’est pas à démonter, cependant les idéologies tendent inévitablement à se figer, cristalliser voire se nécroser.

En guise de perspective , à peine au dela des apparences, la globalisation libérale tend à produire des monopoles, ersatz des guildes &corporations, 
hors l’histoire économique récente démontre,à contrario, que les nouveaux secteurs de richesses se sont développés à l’extérieur de ces monopoles (dont certains sont amenés, ds le secteur de l’énergie par ex, à perdurer "durablement)

Apple, MS, Intel vs Ford, GM, ITT etc ...

Un autre facteur amplificateur des crises est contenu au sein même de l’édifice éco-financier , l’optimisation des procédés (que ce soit ds le domaine productif, mkg, cycles de vie, financiers)
+ connu ss les termes de flux tendus, stock zéro ou never sleep city (le bank run en est une dérivée) non seulement parce qu’il potentialise les risques de clash, 
mais également en raison de son impact écologique.

Tte activité humaine génère un passif écologique majeur dissimulé pr de bonnes et évidentes raisons.

L’hypothèse pessimiste réside ds la réplique des schémas antérieurs ie crash 2000-1/2007-8, éclatement des bulles, destruction de capital au final soldé par les populations au profit des bénéficiaires usuels.

L’option optimiste existe ds la permanence (rémanence) du capital social (de la nation) , fondation d’un modèle économique à remodeler.
Ttes les nations se sont relevées des destructions massives consécutives à des conflits armés de fort e intensité, plus difficilement de l’emprise coloniale ou impérialiste.

Imaginer une monde non plus déployé sur des cultures mais replié sur des secteurs d’activité ns ramène au moyen âge et à la fragmentation des savoirs, un monde réplicatif,

La solution pourrait venir de sources inattendues, c’est d’ailleurs le principal enseignement de l’histoire

pour la route ou l’a.m

Ph Wolff L’Eveil Intellectuel de l’Europe

remerciements à l’auteur et, 
ne soyons pas avare, 
aux coms










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