alinea alinea 30 octobre 2015 10:10

@Bracam
C’est le « un » dans le tout, sans contours hermétiques, un va-et-vient sans cesse !
Ces filles n’ont de philosophes que le nom que leur diplôme leur donne, des pépettes qui « passent la rampe », pas comme Rabhi tout petit dans son fauteuil, isolé au milieu des usurpateurs.
Erri de Luca est comme cela aussi, des poètes d’un monde beau, encore. Des poètes qui s’engagent, qui agissent contre l’étourdissante agression tellement gratuite de cette planète qu’on a humanisée jusqu’à la nausée aujourd’hui après lui avoir donné une beauté accessible à nos sens.
Mais vous l’avez compris aussi Bracam et je crois que je l’ai compris aussi.


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