Jason Jason 7 novembre 2015 19:15

Bonjour,

Et merci pour cet article aux idées claires et bien écrit.

Cette phrase que vous citez : “mon ennemi, c’est la finance” pourrait en rejoindre tant d’autres, faites pour plaire, car qui pourrait dire « mon ami, c’est la finance », à part les traders, les banquiers ou les boursicoteurs ? A ce compte-là le président ne risque rien et peut crier dans le vent, sachant très bien qu’il ne pourra jamais circonscrire ces puissances supra-nationales que sont la finance mondialisée, et qui se moquent bien de son opinion et de la nôtre.

Notre opinion qui se trouve anesthésiée par la fureur médiatique, le tapage des nouvelles qui n’arrêtent pas de « tomber » et ainsi leurrée par des promesses auxquelles personne ne fait plus attention.

Reste-t-il quelque part un germe, comme vous dites, une étincelle, enfouies dans la résignation générale ?

Combien de temps encore nous faudra-t-il nous laisser berner ou parfois écraser par le despotisme républicain actuel, avec ses mises en scène et ses discours lénifiants, et jouant sur l’espérance, cette ultime vertu des esclaves ?

Cordialement


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