Depuis l’après guerre, 1948 exactement, les allocations familiales illimitées et potentiellement infinies selon le nombre d’enfants, non soumises à un plafond de revenus, non imposables, ajoutées à d’autres avantages, font que certaines familles ont pondu à tour de bras.
Par autres avantages on peut entendre prime à la naissance, congés
maternité/paternité, bonification de la retraite, trimestres pour
enfants, systeme d’impôts directs et indirects par « parts »
surévaluées, avantage des familles pour l’allocation logement........
La liste est très longue dans notre Pays.
Or un enfant de pays développé consomme en moyenne 17 fois ce que consomme un enfant d’un pays du tiers monde.
Certains ont bon dos ensuite d’accuser les Africains de « se reproduire comme des lapins », nous sommes moins nombreux mais nous autres occidentaux captons l’essentiel des richesses.
Or les ressources alimentaires sont finies, et leur prix sur les
marchés mondiaux dépend de l’offre et de la demande. Notre
surconsommation fait envoler les cours.
Chaque fois que nous faisons un enfant, nous otons le pain de la bouche à 17 enfants dans le tiers monde....
mais ceux qui ont voté, en 1948, ces allocations et ces avantages,
les ont surtout votées pour eux et leurs classes sociales à l’aise.
le
récent rapport de l’OCDE indique qu’en France, 17% de l’aide sociale
est versée aux 20% les plus pauvres. Ce sont les 83% restants de ces
aides sociales qui posent question : cette répartition affame autant les
pauvres en France, qu’elle encourage à une natalité sans limites, sans
conscience, et sans souci de responsabilité......
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