La droite n’a pas de boussole. Ayant abdiqué
tout esprit critique en 2007 pour se ranger sous César, elle ne sait plus à
quel saint se vouer à présent, d’où ses mouvements erratiques et
contradictoires. Il en coûte cher de renoncer un jour à sa liberté ! La
gauche est plus que défaillante, mais au moins elle a des principes, à quoi on
peut toujours se raccrocher quand tout le reste fout le camp.