Jean Keim Jean Keim 14 janvier 2016 08:34

Si j’ai bien compris les explications vulgarisées de la physique quantique, il existe(rait) une longueur (de Planck) et par conséquent - la vitesse de la lumière dans le vide étant constante qq. soit le référentiel - un temps en dessous desquels il serait impossible de descendre, si tout est relié, une universelle intrication en qq. sorte, alors la mort ne peut être un anéantissement mais autre chose qui se manifeste différemment.


Une allégorie pourrait être la bonne vieille marche à pied : un pas nous sommes vivants et ... vient le pas suivant, chaque pas doit être terminé pour que vienne celui qui suit, et vient le dernier pas ici bas et le pas suivant dans la (dis)continuité du précédent, dans un au delà par delà celui que nous vivons actuellement 
Jamais nous ne pourront refaire un pas identique à celui d’un précédent et chaque pas est bien mort, définitivement mort, seulement certains nous laissent une trace prégnante dans une de nos innombrables mémoires et nous les entraînons avec nous comme des casseroles.
Un pas doit mourir pour que naisse le suivant que ce soit dans ce monde ou dans un autre , pourquoi imaginer que la grande mort puisse interrompre le chemin ?
Nos mémoires nous aménagerons les décors qui nous attendent après notre dernier pas terrestre.


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