njama njama 27 février 2016 10:16

@pemile & Hamed
 Chine, inde, amériques, afrique et/ou juste en europe ?

Comme le souligne Hamed dans son article, la corrélation entre guerres et pandémies est assez patente au cours de l’histoire, les conditions d’hygiène et d’alimentation se dégradant.
 
La seule explication qui me paraîtrait logique, c’est que dans cette comptabilisation de morts de cette grippe espagnole il y en aurait un grand nombre qui seraient comptabilisés deux fois, la première, en victime de guerre et la deuxième, victime de cette grippe.

La grippe espagnole touchait principalement de jeunes hommes entre 20 et 40 ans, les enfants, femmes et personnes âgées étant très peu atteints.
Il « semblerait » que cette grippe espagnole soit liée de près aux vaccinations pratiquées dans l’armée américaine, les braves boys auraient contaminé les champs de bataille ...

« En France, les premiers cas de grippe sont signalés en avril 1918 à plusieurs endroits du territoire : à Villers-sur-Coudun dans l’Oise au sein de la IIIe armée, parmi les troupes américaines débarquées à Bordeaux-Bassens, à l’hôpital complémentaire de Fontainebleau, et au camp d’instruction automobile de Fère-Brianges dans la Marne. »
Archives du Service de santé des Armées du Val-de-Grâce, carton 810. La grippe espagnole (1918-1919) dans les journaux français,par Françoise Bouron, Docteur en histoire.
https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2009-1-page-83.htm#no1

20 faits peu connus au sujet des vaccinations...

4. En 1917, au cours de la première guerre mondiale, des soldats américains qui avaient été vaccinés avant de s’embarquer pour l’Europe tombaient subitement morts à la suite d’un syndrome bizarre qui semblait n’affecter que les jeunes personnes. [ * ]
source : http://vactruth.com/2011/10/25/20-vaccination-trivia-facts/

http://www.wikistrike.com/article-20-faits-peu-connus-au-sujet-des-vaccinations-118177017.html

[ * ] grippe espagnole, ce que l’on en sait est que le virus a débarqué en France, en avril 1918, avec le corps expéditionnaire américain. Que les soldats avaient été obligés de se faire vacciner. Qu’il a contaminé le Québec quand leurs soldats sont revenus.

«  J’ai été témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918 » par Dr Eleanor Mc Bean
http://ameliorermasante.com/2009/07/20/vaccination-et-grippe-espagnole-par-un-temoinle-dr-eleanor-mac-bean/

The Poisoned Needle : Suppressed Facts about Vaccination by Eleanor McBean
http://www.amazon.com/The-Poisoned-Needle-Suppressed-Vaccination/dp/1442131292

 Extrait de l’ouvrage de Ch. M Higgins : « Horrors of vaccinations exposed and illustrated » Brooklyn, N.Y. 1920

en PDF ici : https://vactruth.com/download/vaccination_exposed.pdf

« Le New York Times du 2 mai 1918 titrait : « Refus de vaccination : 15 ans de prison ! »

 « Camp Dodge, Iowa, 1er mai – Elmer N.Olson, of Goodrich, Minn., un soldat à l’entraînement à cet endroit, a refusé de se soumettre à la vaccination. Il fut traîné en cour martiale et condamné à une peine de 15 ans d’emprisonnement au camp disciplinaire de Fort Leavenworth.

 Le cas de ce soldat-là n’est pas une exception au regard des nombreux cas similaires qui ont été relatés dans la presse depuis ces deux dernières années, démontrant ainsi que c’était une pratique habituelle dans l’armée que de traîner les soldats en cour martiale s’ils refusaient  d’être vaccinés sans leur consentement libre et éclairé. Pour avoir refusé de se faire vacciner, ces soldats ont également perdu le droit aux honneurs militaires et ont été condamnés à un emprisonnement de longue durée qui n’est normalement le lot que des dangereux criminels soumis à la loi pénale. Cette punition d’une telle ampleur a donc été infligée pour le seul « tort » d’avoir refusé la vaccination ! Il s’agit fort probablement d’un moyen d’impressionner les autres soldats et donc de « faire un exemple » et de créer un précédent afin qu’un maximum d’autres soldats acceptent le vaccination sans discuter. Rien d’étonnant donc à ce que les autres cas de refus furent à chaque fois assortis d’une telle condamnation.

 L’auteur de ce livre s’est informé auprès de l’avocat général qui, dans une lettre datée du 14 janvier 1919, ne fait état que d’un seul cas jugé en cours martiale entre 1917 et 1918 (étrangement, alors que la presse a parlé de bien d’autres cas…) pour refus de vaccination ce qui était une violation de l’article 96 de la loi de la Guerre et qu’en conséquence, le cas en question a été condamné à 25 ans de travaux forcés. »


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