Plus robert que Redford 26 février 2016 19:22

Mouais....

J’adhère, mais uniquement à la première partie de l’article.

Qu’est-ce qui a bien pu motiver ce monsieur Gates dans son grand élan de philanthropie sur le tard... ?

Américain bon teint, ce que l’auteur ne manque pas de faire remarquer, c’est à dire citoyen d’une nation qui a tué directement ou indirectement depuis la fin de la seconde guerre mondiale, plus d’êtres humains sur la planète que n’importe quelle autre entité biologique, cataclysmique ou guerrière ?? 

De plus, pour arriver à une réussite aussi insolente, je n’ai aucun doute que, comme tout homme d’affaires, il a dû marcher sur la gueule de bien de ses associés ou collaborateurs...

Alors ?

Que penser de déclarations d’un tel bonhomme ?

La perplexitude m’envahit tout soudain...


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