Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 29 mars 2016 12:33

@Daniel Roux

Bonjour et merci de ce commentaires qui équilibre le débat, et vient contrecarrer l’offensive des commentaires d’hier et d’aujourd’hui de certains réactionnaires qui fréquentent le site. Ce fut la curée !

Le patronat, même s’il a subi quelques mutations dues au travail extérieur des forces de progrès, reste crispé sur ses acquis, ceux d’un pouvoir sans partage. La loi MACRON/EL KHOMRI reste tout de même endogène de la mentalité patronale non encore consciente du changement de mentalité des êtres humains, qu’ils considèrent comme du vulgaire bétail, leur appartenant d’ores et déjà. Mais les populations ont changé elles-aussi, et les jeunes particulièrement, et sont plus aptes à se battre front à front contre ces lois iniques. Le patronat n’a jamais renoncé à imposer son mercantilisme insatiable au monde du travail. Je ne vais pas mettre tout le monde dans le même panier à crabe, bien sûr, mais à côté d’un petit nombre de patrons honnêtes et respectueux de leurs employés, existera de plus en plus une race de patrons formatés par les casseurs de lois, des « casseurs », oui.C’est pour cela qu’il ne faut jamais baisser les bras, et la remise en cause du projet de loi MACRON/KHOMERI est salutaire, nécessaire.

Un référendum d’entreprise, ce sera là avec les modalités de licenciement que j’évoque dans l’article, une des grandes scélératesses de cette loi. MEDEF, MACRON, la droite la plus réactionnaire (pléonasme) et la gauche des sociaux-traîtres, pourront se vanter plus tard d’avoir bien préparé le XIXe siècle et les futurs désastres humains qui en découleront. 

Cordialement.


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