antoine (Montpellier) antoine (Montpellier) 6 mai 2016 15:02

@tf1Groupie Les deux situations n’ont rien à voir en effet : à un détail près qui vous échappe et qui est annoncé dès le titre ! Le sentiment d’impunité de la police. Il est total au Brésil ; Il vient de monter très haut en France avec les violences dont elle est l’auteur envers les manifestants de Nuit debout. Mais on va être clairs : vous pouvez estimer que la police française est dans son rôle dans ce qu’elle fait actuellement. Moi, je pense exactement le contraire. Si on est sur ces positions irréconciliables, ce n’est pas ici que l’on va en discuter. Il n’y a qu’à aller sur les sites qui défendent l’une et l’autre position. Chacun se fera une opinion. En résumé : j’assume le rapport que je vois entre les deux situations à partir de ce que j’ai posé plus haut. Rapport qui n’est pas d’identité : la police française n’est pas la Police Militaire brésilienne. Tout lecteur honnête aura compris que c’est ce qui est dit dans ce que j’ai mis en ligne. L’axe de ces lignes c’est : quand une police s’arroge l’impunité de matraquer, gazer, etc. des manifestants pacifiques qu’elle assimile à des casseurs, quand l’exercice de la liberté d’expression expose aux risques que je viens d’évoquer, il peut être intéressant de voir ce que cela donne quand on radicalise la permissivité accordée à ladite police. Par analogie, avec ses limites mais aussi ses éclairages, le Brésil aide à penser la France. Sans aucun amalgame, ce mot fétiche qui ne dit rien d’argumenté !


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe