@Ar zen
Formellement vous
n’avez pas tort : il n’y aurait d’ailleurs aucune raison pour
anticiper les concessions négociées qui sont, elles, bien réelles.
Le problème ne se
pose logiquement que dans l’hypothèse d’un rejet du Brexit et dans ce cas les traités
seront réaménagés dans le sens des promesses faites à la
Grande-Bretagne.
Il serait d’ailleurs inimaginable qu’il n’en
fût point ainsi.
Cameron n’est pas n’importe qui à qui on peut
chanter fleurette et se défiler ensuite.
En tout cas je
serais friand de voir se réaliser un tel cas de figure, cela préluderait sans doute à l’estocade finale.