egos 21 juin 2016 14:05

La déroute annoncée des marchés immobiliers et son corollaire la dégradation des actifs « pierre » s’inscrit ds 1 contexte plus large d’injonction à la circulation monétaire laquelle offre entre autres avantages d’abonder la dynamique économique (cycles consommation, investissement, spéculation, déflation) et les finances de l’état au travers d’un maquis de taxes et règlementations (l’appareil règlementaire pris isolément, hormis son caractère normatif indispensable à la sécurité des biens et leur intégration environnementale, nourrit et perpétue par ailleurs une puissance administration d’état).

retenons à ce sujet la dérégulation des pos (terrain standards de 45 m2) recyclage bi-annuel des normes et standards de construction, coûts et délais de réalisation constante progression, avantages financiers (taux 0%) avantages fiscaux (qd bien même s’il ’agit d’appâter le chaland) ie : frais dits notariaux.
Par comparaison, l’acquisition de bâti ancien se voit opposer ttes sortes d’obstacles, souvent rédhibitoires : restrictions bancaires (par une singulière ironie du hasard les institutions bancaires réservent leur lignes de crédit aux activités purement spéculatives donc par déduction ...), fiscalité dissuasive, contexte social et économique défavorable, menaces pesant sur l’emploi.

De fait, l’immobilier perd son caractère de bien figé, dormant, refuge (y compris de l’épargne) au profit d’un bien consommable, périssable, une « utilité » en regard des coûts d’entretien, d’exploitation, d’usage (TI,TF) associés.

Rappelons l’annonce de Hollande (personne ne prête attention à ses propos, inaudibles par ailleurs) d’une baisse de 30 % du coût de la construction, cette pseudo prédiction semble tt droit issue des bureaux de Bercy, 
Hollande n’affichant aucune expertise immobilière particulière si ce n’est pr la gestion de son propre patrimoine ds 1 perspective en apparence purement fiscale.

Lesquels services de Bercy demeurent aux aguets, le projet loyer imputé ou fictif, défendu tant par les écuyers portant à droite qu’à gauche, demeure en stand-by, 
confirmant que la notion de propriété, au niveau du petit peuple est elle bien fictive.


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