@Pierre
Quand les gens cesseront de « vouloir » un chat, un chien ou un cheval, comme on réalise un rêve enfantin, c’est-à-dire en restant dans l’ignorance que l’autre est autre et qu’il faut le connaître et le comprendre, les bêtes seront plus heureuses.
Ceci est vrai pour les enfants aussi, naturellement !