eugene eugene 8 septembre 2016 21:31
Le burkini, c’est comme de se se balader dans un drapeau noir à tête de mort, de la tête au pied, et faire semblant ensuite de s’étonner qu’on s’étonne, et des réactions d’indignation. Je m’explique :
Personne n’est dupe, du moins presque personne, moins ceux qui jouent l’innocence indignée, et même il faut oser, la défense de la liberté....Et de ne par voir le problème.....Personne ne prétendrait qu’un drapeau par exemple est un bout de chiffon....Il y a la texture, le port, le concept, l’idée derrière, le symbolique, et l’époque qui font sens...Par exemple le drapeau noir symbolisait les mœurs des pirates de l’île de la tortue. Des gens peu recommandables mais au moins qui n’étaient pas hypocrites, qui ne servaient pas de dieu pour faire leurs exactions...« Ni dieu ni maître » proclamaient ils...Le drapeau noir maintenant, c’est l’icone des bandits de Daesh...Une engeance de pervers qui s’inspirent du fondamentalisme musulman walabite, pour se faire servir, et je justifier......Le burkini, que personne ne connaissait de fraîche date, issu des derniers défilés de mannequins du golf. ( un salon d’apicultrices en tenue)..Dernière invention de ces tarés qui tentent de provoquer et provoquent, c’est le but, à travers ce leurre.....Evidemment politique, mafieux, pervers donc, manipulateur : Tenter de se poser en victime en espérant que la loi fera censure...C’est un peu le piège d’interdire...C’est pas l’envie qui manque, mais regardez comment ces gros parano se régalent ensuite en passant sur le net les images forcément stupides où l’on voit les flics intimer l’ordre à une femme de changer de tenue...
Burka ou consort...Personne ne connaissait ces tenues de guignols et d’esclaves, encore dans les années 70...Moi qui avait passé un an entre turquie, moyen orient et indes, il avait fallu que j’attende d’être en Afghanistan pour voir dans la campagne quelques uns de ces fantômes.....Ce pays était encore une sorte de moyen age, le même qu’avait traversé .anne marie schwazenbach et Ella Maillard dans les années 30, une époque où deux femmes pouvaient traverser toute l’asie sans se faire emnerder par des grosses mouches à merde..... 
« La Quête du réel », d’Annemarie Schwarzenbach - Le Monde
Stupéfaction...L’iran à l’époque même s’il était gouverné par une main de fer, celle du shah, et sa savak, représentait pour les femmes la modernité, l’ouverture, tout comme l’irak, la turquie....Je vous parle d’un monde où un étranger pouvait encore parler à une femme dans un bus....Ce monde bancal a accouché d’une horreur, et l’on voit de petits malins, et de bons manipulateurs, comme l’auteur de cet article sirupeux et plein de sophismes, tenter de prendre le train en marche, espérant que les nouveaux maitres lui donneront un petit rôle, qu’il pourra se servir de sa plume pour être un scripte, un sous fifre des puissant, espérant une retombée de royalties, pour bons services...Il y a toujours des larbins de l’âme...
L’humour seul peut nous sauver, et relever les jupons des voiles noirs. Alors qu’une bonne bourrasque survienne pour montrer le cul à ce qu’on veut cacher : Mes bons maitres vous serez bien déçu, car c’est la mort et ses tibias et ses rotules qui se cache la dessous. Pas vraiment un bon coup !


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe