@V_Parlier
Pourquoi chicaner sur les détails découlant d’une faute de raisonnement fondamentale, tristement banalisée bien en amont .
Laissons parler le logicien Bertrand Russell (dans son ’éloge de l’otium’) :
- « L’ une des choses les plus communes que l’on puisse faire de ses économies, c’est de les prêter à un Gouvernement.
Étant donné que le gros des dépenses publiques de la plupart des États civilisés est consacré soit aux réparations nécessitées par des guerres antérieures, soit à la préparation de guerres à venir, celui qui prête son argent à l’État se met dans une situation similaire à celle des vilains personnages qui, dans les pièces de Shakespeare, engagent des assassins. En fin de compte, le produit de son économie sert à accroître les forces armées de l’État auquel il prête ses épargnes. »