lloreen 30 octobre 2016 14:59

@Byblos
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Quand tout cela sera terminé -et ça ne saurait tarder- aucun, oui AUCUN Occidental, depuis les pays baltes jusqu’à la Californie, soit toute l’Euramérique, ne pourra se défendre en disant qu’il ne savait pas.« 

Je vous trouve dur(e) dans votre constat. Combien pensent-ils réellement s’ informer en se laissant remplir le »temps de cerveau disponible" par les agences officielles de lavage cérébral ?

La génération allemande de l’ après-guerre confrontée aux inquisiteurs alliés (des tortionnaires) a déclaré n’ avoir pas été au courant du génocide et de l’ horreur ds camps. Mais que constate t-on ? Que les hommes étaient à la guerre, les femmes dans leurs foyers auprès de leurs enfants ou employées dans les usines pour pallier le manque de main d’ oeuvre masculine expédiée sur le champ de bataille. A part la propagande de Goebbels instillée auprès de la population qui se doutait bien que quelque chose n’ allait pas -sauf ceux fanatisés jusqu’ à leurs derniers instants- quelles sont les véritables informations qui parvenaient jusqu’aux oreilles des masses ?

Cela n’ a guère changé. La classe moyenne a bien trop à faire pour joindre les deux bouts, ceux qui socialement n’ existent déjà plus ont d’ autres soucis que savoir ce qui se passe en Syrie ou en Afghanistan. Que propose t- on d’ autre au français moyen que l’ éternelle campagne électorale où on change les têtes mais ne propose jamais de se débarrasser d’ un système mortifère ?
Peut-on réellement en vouloir aux victimes ? Quand elles comprendront que c’ est à elles de changer de rôle pour que le système change plus personne ne dira qu’ il ne savait pas.
Il faut s’ attaquer aux causes. Pas aux conséquences.


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