Trump s’est montré diabolique pendant sa campagne et maintenant élu, il modère, dédiabolise ses propos. Une stratégie contraire à celle de la perfide Marine qui joue la carte de la dédiabolisation, la gentille brebis inoffensive, mais qui, une fois au pouvoir, ôtera le masque pour dévoiler son véritable visage de louve assoiffée de sang, la gueule grande ouverte, prête à dévorer (notamment les Français d’origine immigrée).