gogoRat gogoRat 17 novembre 2016 17:58

@jpm

 J’ai déjà essayé plusieurs re-formulations de mon propos, et là je crois que c’est à vous de faire quand même un minimum d’effort pour dépasser les rails figés de votre raisonnement.
 
 Comment comprenez-vous (ou bien comment réussissez-vous à ne pas comprendre ) la phrase suivante ? :
" Faisons le sacrifice de la légitimité et de la réelle justice de la progressivité de l’impôt pour exiger avec d’autant plus de force, et de moyens (vu la simplification d’un principe de collecte bien plus difficile à biaiser et contourner) ! « 
 ou bien cette autre :
 »
Mais, si on parle bien de l’acceptation théorique de cette progressivité, j’ai aussi re-répété que j’y souscris !« 
et cette formulation :
 »
Puisque cette théorie prétend déjà être appliquée. Puisque ce ne seraient que des difficultés pratiques de mise en application qui y feraient obstacle. Pourquoi ne pas chercher à surmonter autrement cette mise en application par ce challenge
[..] au lieu de récupérer le cadeau indu sous forme pécuniaire, on le récupère par une intransigeance exacerbée [..]"
 
 Comment, dans votre esprit arrivez-vous à concevoir qu’on ’remet en cause’ un principe que l’on dit réellement juste mais dont on n’envisage le sacrifice que pour en améliorer paradoxalement la prise en compte !
 
 Comment croyez-vous défendre, sans jouer sur les mots, cette billevesée d’une honnête ’progressivité dans le barème de base’ mise à mal par, entre autres, un certain Piketty
qui avance que ( cf http://www.revolution-fiscale.fr/le-systeme-actuel/un-systeme-regressif ) :

  • le système fiscal actuel est faiblement progressif jusqu’au niveau des « classes moyennes »,
  • puis devient franchement régressif au sein des 5% les plus riches (soit 2,5 millions de personnes sur 50,4 millions), et surtout à l’intérieur des 1% les plus riches (soit 0,5 million de personnes).
 Même le dernier des ’petits’ Français a entendu parler de niches fiscale, ou s’est rendu compte, par exemple, qu’un couple ou une subdivision artificielle de la même Entreprise n’ont aucun mal à diviser artificiellement la hauteur du plus gros revenu imposable ... et personne n’ignore la lourdeur et la difficulté rencontrée par le fisc pour contrôler et vérifier chaque revenu ; personne n’ignore non plus que la levée d’un impôt à taux unique ou d’une taxe, est beaucoup plus systématique et naturellement imparable ...

 

 


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