Alren Alren 22 janvier 2017 12:58

@nenecologue

De quel QI parlez-vous ? Quand on a un QI de 100 selon la norme française, il est de 120 en GB !!!

Le QI mesure l’aptitude à réussir des tests qui sont en relation directe avec les apprentissages scolaires. La meilleure preuve en est que si l’on s’entraîne à résoudre des tests comparables à ceux qui sont utilisés pour l’évaluation de l’intelligence, on améliore son QI.

Alors que « l’intelligence » telle que veulent la mesurer les psychologues est une donnée stable, consubstantielle du sujet, du moins selon eux.

On sait que l’enseignement en Asie est fait de bachotage au détriment de la créativité, de l’originalité de pensée dont font toujours preuve les génies qui nous font accomplir des progrès scientifiques, culturels, sociaux. Mais cela fait apparaître de bons résultats au classement PISA, bien faussé par ailleurs par l’exclusivité donnée à la langue anglaise pour évaluer les publications universitaires.

C’est faire du racisme à l’envers que de croire que les asiatiques surclasseront, définitivement, les « blancs » et bien entendu les « noirs » !

Un indice prouverait presque le contraire : les Chinois et les Indiens ont compris qu’ils ne pourraient pas dépendre uniquement des énergies renouvelables pour leur survie avec une telle surpopulation. la filière uranium-plutonium est une impasse, c’est évident.

Il faut donc utiliser le thorium. Mais aucun des deux pays n’a les « cerveaux », visiblement, pour réussir actuellement, alors que des centrales de démonstration au thorium ont fonctionné aux USA du temps de Kennedy, avant d’être abandonnée du fait de la nécessité d’approvisionner en plutonium militaire l’industrie des bombes nucléaires.

Le nombre (le surnombre, la surpopulation) n’est pas un avantage mais un handicap !

On estime à deux cent millions seulement le nombre de Chinois qui, au prix d’une exploitation forcenée fournissent le monde en produits divers, grâce aux transferts de technologie ayant accompagné les délocalisations (En exemple on peut citer la fabrication de fonte à coulée continue avec pétrissage magnétique, une technique révolutionnaire, partie en Chine avec les hauts-fourneaux de Caen-Mondeville et la bénédiction d’Édith Cresson, celle qui traitait habilement les Japonais de « fourmis ») ou moins avouable, l’espionnage industriel (la France étant un des pays du monde le plus vulnérable, le plus facile à piller).

Les 1 200 000 000 Chinois qui sont exclus de cette fièvre industrielle seront un boulet pour les travailleurs de l’industrie. Sans compter que la politique de l’enfant unique augmentera toujours plus le ratio retraités/actifs.

Les terres et métaux « rares » ne le sont pas tant que ça. Mais comme les techniques actuelles d’extraction et de purification sont très polluantes (car cet aspect a été négligé en Chine comme dans tous les pays du tiers-monde), on a laissé ce pays les produire en s’empoisonnant.

Mais dès lors que la Chine prétendra en rationner les pays industriels, il ne fait aucun doute que les techniques d’enrichissement seront mises en œuvre permettant d’exploiter des gisements actuellement dormants et que la pollution sera maîtrisée pour en produire dans les pays développés.

La France a une situation géographique privilégiée sur le globe et une population éduquée dans l’ensemble, libérée des religions et de leur effet nuisible. Son avenir n’est pas tracé. Il dépendra des choix politiques que feront ses électeurs.

De ce point de vue, le rendez-vous de 2017 sera historique. Ce sera la renaissance avec JLM ou la continuation du déclin avec Macron ou Fillon.


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