« elle (Eugénie Bastié) affirme que les médias ayant »encouragé et promu« le jeune auteur seraient »compromis« par les tweets de ce dernier »

Avant que ce ne soit révélé au grand public, les média de gauche qui protégeaient Mehdi Meklat étaient tous au courant de ses tweets racistes et antisémites. Siankowski, directeur des Inrocks, le qualifiait comme un « farceur » !
http://elfassiscoopblog.com/pierre-siankowski-et-les-inrocks-complices-du-raciste-mehdi-meklat-les-preuves/

Si un militant FN avait tweeté ne serait-ce qu’un centième des propos racistes de ce Mehdi Meklat, incitant à la haine et au meurtre, il aurait été lynché de la manière la plus violente sur tous les mass-média (BFM TV, i-télé, France Télévisions, Le Monde, le Nouvel Obs, Libération, Les Inrocks, etc..), à juste titre, et traité de facho réactionnaire néo-nazi d’extrême-droite catholique.

Mais là, on a affaire à un supposé sympathisant des causes anti-racistes protégé par Taubira et les militants islamo-gauchiste : Pascale Clark a pris sa défense, en expliquant que « Medhi Meklat ne fut que poésie, intelligence et humanité », Claude Askolovitch, le qualifie de « gamin qui poste des blagues nazes, moins immonde que ceux qui utilisent ses conneries passées. »
Voilà. les tweets racistes, qui appellent à « faire entrer Hitler pour tuer les juifs », à « casser les jambes de ce fils de pute de Finkielkraut », « égorger Brigitte Bardot », un « autodafé pour les chiens de Charlie Hebdo », « enculer Charb avec des couteaux Laguiole », « cracher des glaires sur la sale gueule de Charb et tous ceux de Charlie Hebdo », « je suis Mohamed Merah et je vais vous tuer », « nique la police », « les Blancs, vous devez mourir », j’en passe et des meilleures, ne serait juste que des blagues nazes exploitées par des gens immondes.
Les nazis ne diraient pas mieux. Un gentil gars finalement ce Mehdi, ouais, pardonnons lui.