Daniel Roux Daniel Roux 31 mars 2017 14:06

Ce n’est pas tant la politique de Hollande, que la manière, qui a coulé le PS.

Un député représente ses électeurs. C’est la définition même de la démocratie dite « représentative ».

Il est reproché à Hamon d’avoir été frondeur. Rien de plus faux. Hamon est un honnête représentant de ses mandants. Il a refusé d’entériner une politique qui était l’inverse de celle promise par le candidat Hollande.

Hollande est un fourbe et un cynique. Ne le voit-on pas se dresser contre le « populisme » qu’il assimile avec sa mauvaise foi habituelle au nationalisme, alors que sa trahison, après celle de Sarkozy, est à l’origine de la révolte contre l’oligarchie des citoyens.

Fillon est égal à lui-même, totalement inconscient des dégâts produits par sa turpitude. Sa cupidité n’a d’équivalent que son manque de civisme. Ce type a ruiné la France en l’endettant au-delà de toute mesure, en dépensant tout ce qu’il pouvait dépenser, en raclant tout ce qu’il pouvait racler d’argent public, et il ose la ramener.

Le seul a avoir compris que la France, avait perdu son pied d’égalité avec l’Allemagne en bafouant, années après années sous Fillon/Sarkozy, ses promesses de réduire ses déficits, c’est Macron.

Macron sait que si la France n’équilibre pas son budget dans les plus brefs délais, l’Allemagne la jettera comme une vieille chaussette et prendra le large avec les bijoux de famille. Dans ce cas, l’histoire récente de l’Argentine préfigure celle de la France.

Dans le rôle de Peron : Balladur/Chirac ; dans celui de Carlos Menem, Sarkozy/Fillon ; et pour finir, le couple Kirchner : Hollande/Valls.

Le tort de Macron est de dire qu’il va tout faire pour ne pas que cela arrive, quite à embrasser Merkel sur la bouche, sans expliquer pourquoi il va le faire, comme si nous n’étions pas capable de comprendre..


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