legrind legrind 13 avril 2017 09:20

Je craignais le pire et j’ai eu raison et tort à la fois : raison parce-que c’est un enieme foutage de gueule « l’immigration n’existe pas et nous enrichit, dormez braves français » et de l’autre en 2017 ça ne passe plus. 

Le fait est que depuis 4 decennies l’immigration massive inassimilable est en train de désintégrer le tissu social, culture, civilisationnel même de notre nation, sans parler d’une insécurité- qui n’existe pas( on connait la chanson) qui tourne à l’ensauvagement, résurgence de l’antisémitisme meurtrier, comme en témoigne l’assassinat de madame Halimi, dans un silence médiatique et politique assourdissant il y’a quelque jours à Paris, par un voisin musulman « radicalisé » sic qui l’insultait depuis des années ( le cortège en sa mémoire a été interrompu par des racailles qui hurlaient « sales juifs on a nos kalashs ») . 

vous imaginez bien que ceux qui ont nié un phénomène ne vont pas se mettre tout à coup à analyser des conséquences de ce qui n’existe pas. 
Pour sortir des contes de fées des toujours experts et spécialistes propagandistes qui ne sont là que pour fournir des billes à la gauche paumée qui a trahi le peuple français quelques lectures :
- Les territoires perdus de la République + Une France soumise 
- La France Orange Mécanique , Laurent Obertone (2eme édition) 
certains des auteurs des ouvrages indiqués ont été lepénisés voire nazifiés par le systèmemédiatique/ intellectuel en place, bref continuez votre propagande débile et ignoble pendant que les français s’« enrichissent » de cette immigration qui n’existe pas Un médecin jette l’éponge (2007) 
Ici, c’est le ghetto. Depuis plusieurs années, ne s’installent que les plus pauvres, venus d’Afrique noire... La situation a commencé à se dégrader avec la vague antisémite qui a déferlé sur la Seine-Saint-Denis au milieu des années 90. Toute la population juive installée depuis trente ou quarante ans a quitté les lieux. Les familles maghrébines lui ont emboîté le pas. Chaque fois, elles ont été remplacées par des familles venues d’Afrique noire, parfois polygames. Le problème de la polygamie ne saute pas aux yeux parce que chaque épouse a un statut de mère isolée et un appartement où elle vit avec ses enfants. Les enfants sont déboussolés. Ils ne se reconnaissent pas comme français. Ils n’ont pas ici leurs grands-parents, leurs oncles, leurs tantes, ils se sentent isolés. La violence est montée au fur et à mesure qu’ils grandissaient. »

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