Salur Armelle 

et merci pour ta réponse.

Mais tu devrais faire gaffe, à la lecture de certains passages j’ai failli avoir des débuts d’érections !

Je n’ai (malheureusement) pas trop de boulot en ce moment, mais je n’ai pas non plus le temps de m’attarder ( ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque !)

Très brièvement donc.

En rappelant qu’il se cache (très) souvent dans les détails, je ne « sous-estime » pas « le diable » en le « relégant au rang de VRP »

Bien au contraire (ayant été dans un autre vie VRP, je pense savoir de quoi je parle) se « cacher » (ou avancer masqué) est tout à la fois un art et une arme redoutable qu’il maîtrise, comme tu le précises parfaitement, à la perfection.

Ce n’est pas , par exemple, parce que le jaguar « se cache » pour surprendre ses proies qu’il n’en est pas pour autant un prédateur redoutable (qui contrairement aux autres félins tue ses proies en leur transperçant la boîte crânienne -et pas la carotide - grâce à la surpuissance de sa mâchoire)

Ce qui ne m’empêche pas d’espérer, moi l’agnostique indécrottable, pouvoir après extinction des feux descendre directement en Enfer parce que comme tu ne l’ignores pas

quand il ne se cache pas dans les détails, Satan rentre chez lui.

Je suis sûr que tu as compris, mais pour d’éventuels lecteurs de passage un peu moins vifs d’esprit que toi, j’explique :« l’Enfer... Satan l’habite » (il m’arrive aussi de faire quelques clins d’œil aux « grands classiques »)

Concernant le cynisme « ultime » dans l’ironie, je m’efforce de le réserver à l’auto-dérision.

Mais comme je n’ai pas particulièrement envie d’étaler ici ma vie privée.....

Comme toi, j’ai beaucoup aimé Piccoli dans « Le prix du danger »... 

Le même Piccoli génialissime dans un autre film qui permet également d’apprécier le talent d’un autre « modèle du genre » : Jean Poiret dans « Que les gros salaires lèvent le doigt » et pas piqué des hannetons dans « Le miraculé » avec son compère Michel Serrault.

 Sur ce, désolé.

Comme je te l’ai dit.....

Bisous (dans ma région adoptive, ils appellent ça « poutous »  )