« L’égalité, c’est la légitimation des turpitudes, la promotion de la convoitise, le
culte des ratés et des envieux » (4). « L’égalité est le plus abject des principes
moraux (on flatte avec démagogie l’envie des médiocres - comme les
médiocres sont toujours très nombreux, ça fonctionne-). Pas une vie, pas une
société ne s’est construite ni ne se construira sur l’égalité ».
« C’est pourtant vrai. Simple observation de l’évolution des espèces qui
s’adaptent ou périssent. La vie n’est pas neutre : elle est très incisive. C’est
grâce à cette mise à l’épreuve permanente que nous avons autant évolué. Nos
ancêtres ont été soumis à une impitoyable sélection des forts et des intelligents.
Sans cette compétition permanente, l’humanité n’en serait pas là.
Je maintiens, c’est du même tonneau que ce qu’on écrivait sous le IIIe Reich