Gilles Mérivac Gilles Mérivac 13 juillet 2017 17:32

Bonsoir moderatus,

Je comprends votre indignation et pourtant je ne suis pas sûr que vous défendez la bonne cause. Pour me faire comprendre, je vais faire un parallèle entre cette pièce et un livre de Laurent Obertone que vous avez peut-être lu, ayant pour titre Utoya.

La pièce comme le livre racontent les itinéraires qui conduisent Merah et Breivik à un massacre impitoyable et révoltant. La frontière entre la recherche des motivations d’un tueur et l’apologie du meurtre est très étroite, et donne donc une impression de malaise. Mais si l’on veut lutter sur un terrain psychologique, il est nécessaire de comprendre ce qui peut pousser de tels êtres à commettre des actes irréparables.

Parfois, la liberté d’expression est dure à assumer.


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