rosemar rosemar 17 juillet 2017 19:45

@Graal

Un extrait : « Chaque année, plusieurs centaines de personnes meurent après avoir pris des AINS, et pas toujours à forte dose », accuse le Pr Queneau. Outre les dangers cardio-vasculaires, le médecin insiste sur les risques rénaux, « avec un effet dose dépendant certain », et les risques d’hémorragies en particulier digestives qui sont « assez aléatoires, même si la durée de prescription augmente le risque ».Or, souligne Patrice Queneau, l’ibuprofène est très consommé en automédication et « de façon plus ou moins masquée. En comparaison, la mortalité au paracétamol est absolument limitée et la marge de sécurité très importante. Alors que l’on peut mourir à cause des AIN, y compris à des doses antalgiques ».


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