L'enfoiré L’enfoiré 21 février 2007 16:20

Bonjour,

Je ne vois pas bien le problème de conscience. Une entreprise humaine, qu’elle soit commerciale ou philanthropique essayera de durer dans le temps. Pour le faire, que faut-il, sinon investir dans des fonds qui croissent. Ne pas le faire et c’est la mort à courte échéance.

Ne voir que le débit sans penser au crédit, n’est pas la solution dans la pérénité.

La fondation Nobel doit assurer ses prix chaque année. C’est une véritable organisation avec ses frais de fonctionnement propres. Dans ce cas précis, est-ce un remord de l’inventeur d’avoir pensé à une fondation qui pense à récompenser la paix ?

Bill Gates n’a, d’après moi, aucun remord sur la conscience que d’avoir tenter d’« écraser » ses concurrents dans une activité commerciale mais sans dégâts humains possible à la clé.

J’ai entendu que Luc Besson, fortune faite dans la production du cinéma, voudrait changer de « crèmerie » et lancer sa fondation. Pas de lézard, non plus.

Les fonds de pensions travaillent de la même manière. Dans ce cas précis, il y a un effet secondaire : ils forcent les entreprises à réussir sinon à crever. On achète les actions qui font du « dubble digit », les autres on les vend.

Argent, quand tu nous tiens...


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