@Venise
Perversion du vocabulaire par politiciens et médias : les
quartiers dits autrefois mal famés ou peu sûrs sont qualifiés
pudiquement de « sensibles »,
le comble étant même l’appellation
médiatique de « populaire ». Si je compte
bien, les subventions à ces quartiers atteignent 130 milliards
d’euros en 22 ans, c’est sans
doute pour cela que les médias les appellent défavorisés.