J’apprends avec Mélusine que Matisse était glauque. C’est possible, d’ailleurs les artistes ont tous quelque chose d’obscur tapi au fond d’eux qu’ils ont besoin d’extérioriser pour ne pas sombrer.
Cela dit, merci infiniment à l’auteur pour les magnifiques illustrations, tellement aériennes, tellement « d’ailleurs »... C’est beau et c’est magique...