Ouallonsnous ? 16 septembre 2017 11:47

@carnac

Et qu’est ce qui impose ses volontés à l’UE ?

Révolution de 2017 , terminons celle de1789 Pourquoi la stratégie du chaos de l’UE suite à la politique belliciste américaine ?

Après la fin de la guerre froide, les Etats-Unis/OTAN après qu’ils eurent « assassinés » la Yougoslavie, ont envahi l’Irak et l’Afghanistan, ont soutenu leurs alliés attaquant la Libye et le Yémen et ont fomenté des insurrections en Syrie et en Ukraine. Et Amérique latine.  Etant donné que la plupart de ces entreprises se sont enlisées dans leur guerre par « proxy » avec l’emploi de milices mercenaires  peu fiables, nous espérons – parfois avec un malin plaisir –que le superpouvoir anglo-yankee est en phase de déclin final.

 L’avertissement du président Eisenhower en 1961, présageant que le complexe militaro-industriel allait un jour embourber le pays dans des guerres sans fin, semble se confirmer plus que jamais.

Mais se pourrait-il que la défaite sur les champs de bataille soit davantage dans l’intérêt du complexe militaro industriel des  Etats-Unis que la victoire ? C’est en quelque sorte un développement de « l’ ‘étrange défaite » qu’a connue la France dans les années 1940  ! Manifestement, ce complexe très controversé gagne même davantage avec des conflits interminables.

Cela nous ramène immanquablement au Courant ultra-minoritaire, voire folklorique, de la mouvance nationale française issue de l’européisme découlant lui-même du collaborationnisme du milieu du 20émé siècle, mais toujours présent et constituant l’épine dorsale de « l’oligarchie , le nationalisme blanc y apparaissant comme un phénomène, issu marginalement d’une évolution tardive d’un courant tirant son origine d’une version « réduite » de l’occidentalisme.

Et majoritairement de l’importation en France des thèses d’auteurs comme William Luther Pierce, Greg Johnson, Artur Kemp, Samuel Jared Taylor ou Richard Bertrand Spencer à la faveur et survivance de la collaboration pétainiste qui fut essentiellement, quoiqu’en écrivent les historiens à la botte, une collaboration financière  avec les gouvernements anglo-yankees soutenant le nazisme via Wall Street et la City bien que leurs pays d’accueils soient ouvertement en guerre avec l’Allemagne. 

Le point commun de tous ces auteurs est qu’ils sont anglo-saxons et il n’est pas nécessaire d’étudier bien profondément leur pensée pour se rendre compte que leur nationalisme blanc est avant tout un nationalisme des blancs anglo-saxons et nordiques, dans lequel les peuples latins et slaves pas plus que les peuples asiatiques, africains où amérindiens n’ont nulle place.

Ceci est logique quand on dresse la généalogie de ce courant qui est issu d’un sionisme non-juif né au sein du protestantisme britannique : l’anglo-israélisme.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe