Christian Labrune Christian Labrune 12 octobre 2017 16:08

même le plus idiot des idiots de fanatiques aurait à force compris la dure réalité qu’ils refusent à tout prix de comprendre.
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@McGurk

Je ne sais plus qui, sur cette page, peut-être vous, faisait remarquer que le mur de Berlin avait beaucoup été franchi - ce qui était fort périlleux !- mais toujours dans un seul sens.
Nos crétins sur cette page, s’ils étaient confrontés réellement au totalitarisme, ne tarderaient pas à comprendre leur douleur. Sans doute ils essaieraient bien d’être « dans la ligne » et de se faire les exécuteurs des basses oeuvres du régime, mais même les plus fanatiques parmi ceux-là, dans l’URSS, n’auront pas échappé, souvent, aux purges les plus sanglantes. Tout en haut de la hiérarchie, le piolet dans le crâne d’un Trotsky est est un bon exemple, et celui-là n’avait pourtant à recevoir de leçons de personne pour ce qui est de la férocité révolutionnaire. Qu’on songe à tous ceux dont on ne voit plus que les pieds en surnombre sur les photos officielles où on a pris soin d’effacer les têtes des assassinés ! La révolution dévore très bien tout, et même ses propres enfants.

Qu’on songe à tous ceux qui, ces dernières années, auront essayé, dans des conditions atroces, d’atteindre sur des bateaux pourris l’Italie ou les ïles grecques pour fuir l’islam radical. Entre le nombre de ceux qui auront pu débarquer sur les côtes de la sale Europe mécréante -mais relativement accuillante !- et le nombre des connards convertis et fanatisés qui seront partis de chez nous pour Raqqa, il n’y a aucune espèce de proportion.

La Chine dont vous parlez cessera bien d’être communiste, et probablement sans trop de heurts : elle a déjà un pied dans la modernité. J’attends plus impatiemment l’effondrement du régime des mollahs iraniens qui risque d’être beaucoup moins facile, mais qui est tout aussi fatal. Si l’eschatologie communiste est une production du XIXe siècle, que dire d’un totalitarisme islamique du VIIe siècle ! On ne va pas de l’avant en regardant loin derrière soi. Quand on marche de cette façon, il est fatal qu’on finisse par se casser la gueule. ET le plus tôt sera le mieux.


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