pallas 11 novembre 2017 19:45

Antoine

Que se monde s’effondre, que la planète devienne les tenebres, que je sois un clochards ou bien un robot, sa ne change rien.

Mon vide, ma rancœurs, sera toujours présent.

Ma femme me manque et j’en crève, mais ce Néant restera tel quel, la noirceur et les profondes bêtes de mon âme me dévorant, me tuant. Son tombeau ancrée en moi.

Bien entendu ce genres de mots les humains ne le comprennent pas, de vulgaires déchets sans intérêts, auquel le seul lieu est le silence.

Salut


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe