Oh ! Un billet d’humeur. Et de mauvaise humeur on dirait.

Qui sont ces beaufs qui vous chagrine ? Malheureusement, vous n’êtes pas plus douée pour la diatribe que pour vos articles almanach Vermot. Donc enfilage de perles de façon industrielle.

Les clichés vont bon train, le ressenti de cette plèbe que vous exécrez est prégnante.

Finalement, vous confessez dans les commentaires, courageuse, mais point trop n’en faut, que je vous aurait inspiré ce pamphlet. En fait, je vais créer un néologisme, vu la mollesse de votre attaque, je la qualifierai de flanphlet.

Vous me voyez fort marri d’être l’objet de votre courroux, moi qui ne voulait que vous aider. Mes remarques sur vos platitudes, n’étaient là que pour vous pousser à vous surpasser. On apprends bien plus dans l’adversité que la complaisance.
Regardez vos formidables progrès, vos écrits sont qualifiés de copie moyenne de collège, là où il y a un an à peine, c’était ce2-cm2.

Pour conclure, car il ne faut pas que je sois trop long, évidemment, la moindre des corrections est qu’un commentaire ne doit pas contenir plus de mots que l’article dont il dépend.
Finalement, vous savoir taper rageusement cet articulet, votre chat sur les genoux, avec votre tisane médiflor, me met en joie. Je resterai votre plus fidèle serviteur, n’en doutez pas.

Une seule chose vient à m’effrayer, si j’étais réellement votre beauf. Quelle horreur ! Le diner familial qui s’en suivrai, cauchemardesque. Face à une prétentieuse se croyant savante, toisant son auditoire avec ses informations de la télé, google actus et ses explications de texte sur les labiales. Le rosbeef de belle-maman a intérêt à être au top. Mais tout ceci n’est qu’une projection, ouf !
Vous voyez que je peut faire preuve d’empathie.

A bientôt, Philaminte.