Un jour, sur le Campo di Fiori, Giordano Bruno brûlait en s’excusant de déranger par ses cris.
Une dame en passant s’inquiétait des plis de sa traine....Une autre se plaignait de l’odeur. Les maris et les frères poursuivaient la conversation engagée la veille.
Giordano Bruno quel mauvais esprit !
Quelles mauvaises manières !
Déjà l’esprit citoyen faisait rage