Nicolas_M bibou1324 4 janvier 2018 15:58

Il y a vaccin et vaccin. Qui irait douter aujourd’hui de l’utilité du vaccin contre la rage ?


Maintenant parlons des vaccins contre les maladies bénignes (rougeole, oreillons, grippe, hépatite et j’en passe), qui se révèlent mortelles sur un petit pourcentage de la population. Dans les populations non vaccinées, ce sont les personnes qui ont une faible immunité, qui ont un rythme de vie dégradé (drogués, déprimés), qui en meurent essentiellement.

Là où il y a 100 ans les traînards du troupeaux étaient mangés par les loups, aujourd’hui avec les vaccins on sauve tout le troupeau ou presque.

Le hic c’est que si on est en vie aujourd’hui, c’est grâce à cette sélection naturelle. Seuls les plus forts survivaient, transmettaient les habitudes de vie et leurs gènes à leur descendance, assurant ainsi la pérennité de l’espèce. Plus besoin d’être fort me direz vous, les vaccins s’occupent de tout.

Pouvez vous me garantir que les vaccins seront encore disponibles dans 10 ans ? 100 ans ? 1000 ans ? Si l’intégralité d’une population a été vaccinée et que les gènes les plus faibles sont dominants génétiquement parlant, que se passera-t-il alors ?

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