Francis, agnotologue JL 18 mars 2018 09:59

@Philippe VERGNES
 
 vous me dites ici que, selon vous je me vanterais d’avoir des compétences que je n’aurais jamais eues sur des œuvres que je n’aurais jamais lues et que ces faits attesteraient de mon imposture.
 
 Vous affabulez : contrairement à vous, je ne me suis jamais vanté d’avoir des compétences que je n’avais pas ; c’est vous l’autoritarien, pas moi  ; je vous rappelle que l’apanage de l’autoritarien ce sont aussi les attaques ad honinem et ad personam, ce dont vous usez et abusez comme un ivrogne de son alcool favori.
 
 
Vous me dites ici que vous m’avez répété « ça » des dizaines et des dizaines de fois en 6 ans ; que pas une seule fois je ne vous aurais traité de menteur à ce propos.
 
 A ce propos deux choses : 1 : un mensonge répété cent fois ne fait pas une vérité ; 2 : cette répétition avouée démontre que, contrairement à moi, vous n’avancez pas. Vous êtes comme une moule accrochée à vos certitudes.
 
 Si je ne vous ai pas traité de menteur, j’ai fait beaucoup mieux : j’ai à chaque fois établi et démonté vos mensonges.
 
 
 Ceci dit, contrairement à ce que vous affirmez mensongèrement ici, non seulement je ne combats pas la définition de la pensée perverse par Racamier, mais je pense que c’est la chose principale dans son œuvre consacrée à l’étude de la perversion narcissique. C’est une définition que j’ai pu vérifier maintes fois en observant vos agirs.

 
Enfin, pour ce qui concerner la définition que vous contestez du concept de « déliaison », vous avez vous-même dit que Racamier n’aurait même pas utilisé ce mot. Vous avez donc tort sur ce point. Et pour ce qui concerne la « rupture des liens », vous lisez Racamier comme un intégriste lit son le Coran. Je me méfie des « hommes d’un seul livre ». D’ailleurs, Racamier était-il au clair sur ce point ? Était -il comme vous, dénué d’expérience d’analysant ?
 
 
Nb. La déliaison la vraie, celle des dictionnaires de la psychanalyse est, et c’est moi qui précise, un « déni de principe de réalité » : Le rêve, l’hallucination, le délire, la perversion ne tiennent aucun compte du principe de réalité, lequel principe est un appel à des énergie (liées) qui sont en cas de déni, économisées au profit du seul principe de plaisir.
 


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