La présidence et ensuite le gouvernement Medvedev ont placé des néolibéraux dans toute la sphère élitiste de la capitale : c’est çà le plus important et l’indépendance de la Russie est donc assez fragile, car rien ne vaut ces gens-là pour vassaliser tout un pays.
Et cet article du Saker intitulé « le plus gros échec de Poutine » est un complément de lecture à cette analyse de l’auteur bien fouillée.