colibri 8 avril 2018 20:59
@BAËSA
Le problème est que malgré les « avancées » socialistes de redistribution ,il n’y a jamais eu autant de misère et de pauvres dans les rues , c’est donc que le socialisme ne fonctionne pas , car il n’y a plus personne pour entreprendre .Ce sont les entrepreneurs qui créent la richesse , 

redistribuer oui mais pas assister , or il y a trop d’assistanat trop de gens qui profitent ,
Dans mon travail je fais du social , je vois de tout et des cas sociaux toute la journée , ils prolifèrent de père en fils au dépens de la société , c’est donc que le système qui encourage la paresse est mauvais .

Vous parlez de la SS , trouvez normal que les 40 % de contribuables qui la finance en majorité n’en profitent pas car eux ils doivent payer ? alors que c’est tout gratuits pou les CMU at autres ...
je vois des étrangers et des familles d’assistés qui ont tout gratuit alors que des retraités , souvent des veuves qui ont été commerçantes et ont bossées toute leur vie doivent vendre leurs bijoux pour se faire soigner les dents ou avoir des lunettes ou des prothèses auditives ...ce n’est pas ca la justice .
Les professions libérales , les artisans , les agriculteurs sont sacrifiés par rapports aux salariées qui gagnent beaucoup plus qu’eux en bossant moins et avec plus d’avantages (certains agriculteurs touchent 500 € par mois) , alors qu’avant ils embauchaient ; ils sont capables de créer des richesses et des emplois , 
trop de social tue le social , car un jour il n’y a plus personne pour payer , les entrepreneurs français sont exsangues , alors détricoter les avantages des salariés ne peut qu’aller dans le bon sens et permettre de fluidifier le monde du travail .

Avant c’était mieux oui , jusqu’aux années 70 , les gens avaient un budget santé et payaient leurs opérations , faire tout gratuit ce n’est pas bon ;

Je suis issue de milieu paysans , mes deux grands mère ont été placées comme bonne à tout faire , comme c’était l’usage dans les familles pauvres avec une nombreuses fratries (10 enfants ) .L’un s’est mariée avec un immigré espagnol sans le sou , et bien sans alloc ni aides mais en bossant ils s’en sont sortis, parce qu’à l’époque c’était encore possible (il n’y avait pas l’URSSAF ni les charges ), ils travaillaient sur les marchés comme employé pour un primeur , petit a petit ils ont économisé et emprunté et ils ont acheté un camion pour livrer , et ce sont installés comme marchands de légumes , ils bossaient tout le temps mais ils étaient surement plus heureux que beaucoup de gens d’aujourd’hui .Ensuite ils ont tenu un restaurant routier après la guerre .Une arrière grand mère placée aussi comme bonne a commencé à vendre des boutons sur les marchés , elle a fini avec une mercerie avec des employés , elle a pu s’acheter une maison et financer un commerce pour son fils , sans avoir été assistée .Il n’y a jamais eu aucun salarié dans ma famille , les oncles et tantes de mes deux familles pauvres ont toujours été travailleurs libéral :café , restaurateur , infirmière ..en bossant 60h par semaine et en cultivant leur jardin , leur légumes , et bien ils n’ont jamais compté sur les autres ni aides sociales .Maintenant ce n’est plus possibles pour ces gens là de survivre , ni d’embaucher , les salariés ont trop d’avantages , il est temps que le mouvement s’inverse ..

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