kalachnikov kalachnikov 4 juin 2018 10:51

@ Luc-Laurent Salvador

Je pose un postulat : ’le Moi, c’est un espace neutre qu’emplit deux forces distinctes’. D’où je sors ce postulat, c’est de ma perception propre. (Je suis allé trop loin en parlant d’antagonisme car c’est ma façon - peut-être - de le vivre, façon qui n’est peut-être pas isolée.)
Et bref, on s’en fout de Freud ou de n’importe qui, de Nietzsche même puisque c’est ma prédilection personnelle. Ils ont eu leur perception propre, qu’ils ont rendu notoire ou que l’on a rendu notoire.
Début de la liberté, échapper aux pièges de la Morale. Il n’y a pas d’arguments d’autorité car il n’y a pas par essence de perceptions mauvaises ou insignifiantes. Il n’y a que l’être qui apparait divers et varié parce que les perceptions sont quelque chose d’individuel. Chacun a son tempérament.
Deuxième pas : de quoi parle-t’on ? De quelque chose de supposément universel et de quelque chose qui n’est pas théorique mais concret puisque supposément présent en soi. Donc, pourquoi aller voir dans des livres ? Pourquoi invoquer les perceptions d’autrui plutôt que les siennes ?

Donc, le sentez-vous ? Ou autrement dit est-ce que cela est ? Où, quand, comment, manifestations, etc.

Il n’y a qu’un livre, c’est soi-même. ’Deviens qui tu es’, quel que soit celui que tu es.


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