Francis, agnotologue JL 12 juin 2018 11:38
’’on peut voir dans Macron un Sarkozy qui aurait fait l’ENA et serait monté beaucoup plus vite, avec tous les travers associés à ces deux conditions.’’
 
Avec tous les travers, certes, mais aussi tous les avantages. Je note au passage que le jeune Sarkozy n’était pas le jeune Macron. Et aussi, que Brigitte Trogneux n’est pas Cécilia Attias (j’ai beaucoup de respect pour Cécilia Attias).
 
 Si le macronisme est un sarkozysme, qu’est-ce que le sarkozysme ?
 
 En l’occurrence, il convient de séparer la forme et le fond : la forme est illustrée ces anecdotes du genre « casse toi pauvre con », mais le fond est très bien décrit par Alain Badiou dans son dernier ouvrage : « DE QUOI SARKOZY EST-IL LE NOM ? » 
 
La France, comme les autres pays de l’UE vit sous occupation, les officines du NWO (UE, OMC, FMI, Banques centrales …) étant les bras armés de l’occupant. Les dirigeants des vieilles nations européennes ne sont plus, de gré ou de force, que les gouverneurs adoubés par l’occupant.
 
 «  Le démantèlement des acquis sociaux, le fait que les riches paient moins d’impôts, qu’on privatise de façon rampante l’université, qu’on donne les coudées franches aux affairistes. Cette façon de déguiser une soumission au capitalisme mondialisé en révolution nationale relève en soi du « pétainisme », au sens formel. » ( Alain Badiou )

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