JMBerniolles 20 juin 2018 09:30
Le contrôle commande de l’EPR de Flamanville a déjà été utilisé, par le biais du divorce Areva/Siemens, par l"ASN pour provoquer, sans raison sérieuse, un fort délai de chantier sur cette centrale nucléaire.

L’ASN sous la tutelle de ministères de l’écologie systématiquement anti nucléaire, est sous l’emprise d’une mouvance anti nucléaire. Mouvance anti nucléaire qui investit tous les organismes du domaine du nucléaire, EDF, CEA, CNRS.. et y compris l’Industrie.

Il n’est pas question de remettre en cause le rôle de la sûreté, qui s’exerçait de manière satisfaisante avant la création de l’ASN par D Voynet , une anti nucléaire primaire militante. Mais de contester son utilisation partisane.

Le contrôle commande(système fonctionnement normal et système indépendant de sauvegarde) est naturellement un point hyper sensible du réacteur nucléaire.

Cette action de sabotage simple, relativement léger et qui peut cacher les vraies motivations, est intelligemment conçue pour provoquer un nouveau important délai sur la mise en service de Flamanville. On pourrait presque l’interpréter comme une action visant à maintenir Fessenheim en fonctionnement. On est en effet contraint de vérifier les fonctionnalités et les données des deux systèmes de contrôle … 

Comme nous l’explique ici le porte parole de Greenpeace, cette action de sabotage est une œuvre interne. Dans leur structure et chez leurs responsables, les organisations syndicales de l’EDF sont pénétrées par la mouvance anti nucléaire et son idéologie sectaire.
Leur opposition aux projets d’EPR à Hinckley Point et Sizewell, absolument indispensables à la survie de notre Industrie nucléaire, en est une preuve indiscutable.

Au moment où les Chinois vont faire diverger bientôt l’EPR n°1 de Taishan, construit avec les mêmes matériels sous la maitrise d’œuvre de l’EDF associé à structure chinoise CGN, ce sabotage est aussi une atteinte aux intérêts vitaux de notre pays. Il serait temps que les français ouvrent les yeux sur les attaques contre leur pays de la part d’ONG souvent contrôlées de l’étranger, comme Greenpeace dont des responsables français sont aussi sous l’influence de Soros comme il a été révélé récemment avec la liste à Soros où figurent beaucoup de responsables qui se prétendent écolos.

Dans ce contexte on comprend que les médias inféodés ne veuillent pas trop alerter leurs lecteurs et auditeurs sur une action de sabotage. 

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