@VICTOR Ayoli
Bel hommage et bien « gaulois » à ce compagnon autrefois familier de nos cours et basse-cours, aujourd’hui le plus souvent condamné à l’enfer impersonnel et standardisé des porcheries et abattoirs industriels.
Au brumeux et fort pluvieux berceau du surréalisme - où je réside -, il est plus coutumier de rendre hommage au
roi Gambrinus qu’à Bacchus pour honorer la mémoire de l’’animal et lui marquer notre reconnaissance, mais nous ne crachons pas sur un bon cru pour varier
!