Cateaufoncel2 6 septembre 2018 19:09

@VICTOR Ayoli


Si ces évidences sont oubliées, il faudrait en tenir compte, en admettant, explicitement ou implicitement, qu’il y a un seuil de tolérance, dont même Mitterrand reconnaissait l’existence dans les années 80. 

Ce que ne fait pas Sahra Wagenknecht, parce qu’elle ne peut pas aller si loin. 

En outre, après avoir lu dans un article traduit de la Neue Osnabrücker Zeitung : « Le mouvement a aussi la faiblesse de ne pas vouloir être un parti. Il sera donc sans élu, on ne sait quelle sera son influence sur ceux qui le seront dans les autres partis », j’avoue ne pas voir où elle veut en venir.

« ...tenter de réunir les diverses composantes de la gauche allemande, le SPD, Die Linke et les Verts. »

C’est bien joli, mais elle va perdre les voix de tous ceux qui ne se font pas à l’idée d’être taxés de xénophobie, et de tous ceux qui restent indécrottablement attachés au mythe de l’internationalisme prolétarien.

Il ne faut pas se laisser impressionner par ses 100’000 inscrits sur une plateforme participative, c’est à peine plus de 2 % des voix recueillies par Die Linke, lors des législatives de l’an dernier. Et on sait ce que valent ces inscriptions « en un clic ».

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