Trashon Trashon 26 septembre 2018 17:55

@Spartacus

Tu ne m’as pas déçu sparta, encore une fois tu es à côté de la plaque.

En premier lieu ai-je une seule fois utilisé le terme bio ?

Ha bah non, d’ailleurs le bio est quasiment mort le jour ou tes adorables industriels ont mis le nez dedans, pour nous vendre des produits sous plastique qui ont fait 2 ou 3000 bornes le tout fabriqué par des quasi esclaves..

Je te le répète, je me fou d’être dans le camp du bien ou du mal pour la bouffe je suis dans le camp du bon.

Je te remercie d’ailleurs d’avoir pris pour exemple les producteurs de grands crus classés,  vu qu’on est là chez des exploitants qui dosent savamment les produits phytosanitaires et les utilisent toujours à bon escient pour une simple raison, ils savent pertinemment que chaque traitement peut avoir une influence néfaste sur la qualité du raisin.

D’ailleurs, étrangement ils sont de plus en plus nombreux à passer au bio, c’est ballot hein !

Ho attend sparta j’suis tombé sur quelques perle là.

Un saint-Emilion bio rhooo.. Allé pour une fois fais attention à ce qu’ils disent on y reviendra plus tard :

Bien qu’avec modération, la chimie s’était sournoisement insinuée dans nos pratiques. De concession en compromis nous mettions en danger ce que nous avions de plus précieux : notre santé et la qualité de nos vins par l’appauvrissement progressif du sol et donc du terroir. Peu à peu, nous perdions notre identité.

Pas mal mais celui-là il vaut son pesant de cacahuètes.

Dans les autres grands vins du Bordelais, Château Latour, un Pauillac premier cru classé, et Château Margaux sont aussi en conversion bio, Château Climens, un Sauternes Barsac est en biodynamie, a relevé Nicolas de Rouyn. "La plupart des grands dégustateurs estiment que les raisins bio donnent des vins qui ont un peu plus de profondeur et un peu plus de fruit que dans l’agriculture conventionnelle" a-t-il souligné, en saluant la démarche de « retour au sol » de Château Angélus

 

Caramba encore raté coco !!!

 

Méprisant, sectaire, ignorant, stupide, ça ne me dérange pas, surtout venant de toi,.

Mais au moins je suis droit dans mes bottes, je connais assez bien l’industrie pour savoir que les saletés qu’ils osent encore appeler fruits et légumes n’ont pas été sélectionnés pour leur gout et leurs qualités nutritionnelles.

Dans l’ordre du choix de la sélection tu as la vitesse de production, la résidence aux maladies, la résistance aux transports,  la durée de conservation, la capacité à murir à la demande.

Résultat, quand tu connais le gout des vrais fruits et légumes : c’est de la daube insipide.

 

En fait plus je te lis plus je me rends compte que tu es binaire, comme la réalité que tu idéalise, après-guerre les marchands d’armes nous ont refilé leurs saloperie plutôt que de les utiliser en complément de techniques qui fonctionnaient bon an, mal an depuis des millénaires, mais non on les a utilisé à l’excès  jusqu’à aujourd’hui ou les sols sont mort.

Tu grattes un petit peu tu te rends compte que les rendements de l’agriculture intensive stagnent voir régressent. Là où il fallait 1 calorie pour en produire 2 en 1940 il en faut 7 pour en produire 1.

Après encore une fois tu confonds tout et n’importe quoi, je ne t’ai jamais parlé de mes connaissance en agronomie mais de ma connaissance en produit de qualité, de la tu extrapole des absurdités qui n’étonneront personne sur ce site.

J’en conclu que tu à du lire quelque part une citation de l’étude qui démontre que le bio à un rendement inférieur de 25% par rapport à l’intensif. Là encore ton petit cerveau binaire n’a pas été plus loin parce qu’en grattant un petit peu :

Les légumineuses cultivées en bio ont un rendement inférieur de 8 % environ à celles issues de l’agriculture conventionnelle ; les oléagineux -11%, les vivaces -7 % environ, dont les fruits -3%. A l’opposé, certaines cultures voient leurs rendements baisser fortement quand les normes bio sont appliquées : le blé bio est quasiment à -40% de rendement à l’hectare, l’avoine -33% environ. La principale conclusion de cet article réside dans le constat que l’agriculture bio ne pourra pas nourrir la planète sans agrandir les surfaces exploitées.

Excepté le blé et l’avoine ce n’est pas vraiment problématique…….

Sinon au passage mes tomates c’est 10 kg minimum par pieds en plus sans la moindre trace de produits chimique.

J’allais oublier, les limaces bah figure toi que le grand père il se faisait boulotter une salade de temps en temps, il disait philosophiquement que c’était son dû à la nature. Il s’en inquiétait pas plus que ça, les hérissons faisaient le boulot. Aujourd’hui à force de décimer leur nourriture ils disparaissent…comme 25% des espèces animales mondiale, mais ça, ça ne doit pas te déranger.

A côté de ça on redécouvre que d’autres modes de production fonctionnent sans produits phytosanitaires, sans d’engrais de synthèse le tout faiblement mécanisé.

Et là j’te mets un billet qu’en plus c’est du bon.

Mais bon je fais confiance aux types que tu adules, ceux qui ont un porte-monnaie à la place du cœur et une calculatrice à la place du cerveau pour faire tout leur possible pour que ça ne se développe pas tant qu’ils n’auront pas pu tirer jusqu’au dernier fifrelin de leur modèle moribond.

Que leur importe, que ça  tue les sols, les pollues ainsi que les mers et rivières, qu’ils soient en partie responsable de la disparition de la faune tant que ces crevards peuvent continuer à faire du pognon.

Même quand toxicité est prouvée que les produits sont interdits ils font quoi font tes potes ?

J’te le donne en mille ils continuent à les utiliser !!!

 

 

 

 

 

 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe