soi même 23 novembre 2018 19:02

La réal politique est que l’on efface tous et l’on recommence comme si rien était, vous touchez un probablement fondamentale qu’est c’est une élite qui fait la puissance financière d’une nation où la somme du travail qui crée la richesse d’une nation ?

En ce qui concerne De Gaulle C’est un homme politique qui est assis sur la transition de deux époques le XIX siècles finissant et le XX siècles commençant, c’est sur le tard qu’il a comprit que l’unité d’une nation n’est pas une pur vue financière .

(Sous les cendres de Vichy, de Laurent Lasne, retrace l’échec du Général qui a voulu ouvrir une « troisième voie » entre le communisme et le capitalisme : la participation.

Dans un précédent livre intitulé De Gaulle, une ambition sociale foudroyée : chronique d’un désenchantement (Le Tiers livre, 2009), Laurent Lasne s’est attaché à éclairer l’échec du projet de l’Association du capital et du travail (ACT) que le père de la Ve République croyait pouvoir imposer à la bourgeoisie nationale et aux couches technocratiques lorsqu’il est revenu aux affaires en 1958. Envisageant avec sérieux « la question sociale, toujours posée jamais résolue » depuis les lendemains de la Première Guerre mondiale, le Général voulait ouvrir une « troisième voie » entre le communisme et le capitalisme : la participation. Hélas, les gaullistes sensibles à cette idée étaient peu nombreux dans les gouvernements de Michel Debré (1959-1962) et de Georges Pompidou (1962-1968). Et parmi les intellectuels, ceux qu’on disait « de gauche », René Capitant, Louis Vallon, Léo Hamon, n’étaient qu’une poignée.

Juste prix, juste profit, union des classes : du référendum d’avril 1969 à la bérézina)

http://www.lefigaro.fr/livres/2018/05/02/03005-20180502ARTFIG00209-le-general-reformateur-social-de-l-apres-guerre.php


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