njama njama 24 décembre 2018 17:55

@Galilée

Si encore le vaccin de l ’ Hepatite B était atténué , on pourrait comprendre le phénomène délétère , mais avec un virus tué , allez expliquer ça ???

De même pour le Gardasil ...

Vous détournez le problème, la question de la dangerosité d’un vaccin n’est pas (seulement) liée au fait qu’il s’agirait d’un virus vivant même atténué, ou non, car les fabricants ont construit des leurres si on peut dire qui ne valent pas forcément mieux, comme le rappelait déjà en 2013 le Dr Dupagne sur son site Atoute.org :

GARDASIL Intérêt ? Risques ? Dangers ? [...]

Retour sur le vaccin contre le virus HPV à l’occasion d’une plainte récente.

La pratique actuelle a donc changé depuis un vingtaine d’années. Elle consiste à fabriquer par génie génétique des protéines présentes à la surface de ces germes, protéines spécifiques qui permettent à notre système immunitaire d’identifier ces virus et ces bactéries. Ces protéines/antigènes induiront la la fabrication et la mise en mémoire immunitaire d’anticorps spécifiques et n’exposent à aucun risque d’infection puisqu’ils ne contiennent aucun germe.

Le problème, c’est que la simple injection de ces antigènes ne suffit pas à provoquer une immunité forte et durable. En effet, et heureusement pour nous, la simple mise en contact de notre système immunitaire avec un corps étranger ne provoque pas forcément une réaction immunitaire, sinon, nous serions tous multi-allergiques [1] !

L’immunité faible et brève obtenue par l’injection d’antigènes est acceptable pour l’injection annuelle du vaccin antigrippal, mais pas pour les vaccins devant nous protéger plus de 50 ans comme celui contre les virus du cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs en vaccination ont alors imaginé un subterfuge : associer aux antigènes injectés des substances irritantes ou immunostimulantes (aluminium, L-Histidine, lipides...) qui provoquent les mêmes symptômes locaux qu’une infection : une inflammation. Ces produits sont appelés des adjuvants.

Cette inflammation artificielle trompe les sentinelles de notre système immunitaire qui vont considérer que la présence conjointe de cette inflammation et de ces antigènes signe leur nature infectieuse, et vont donc déclencher la réaction immunitaire. Ces adjuvants augmentent donc considérablement l’intensité et la durée de l’immunité conférée par le vaccin.

Pour accroître encore leur pouvoir immunisant, ces vaccins doivent être injectés dans un muscle et non juste sous la peau.

Ces connaissances sont indispensables pour comprendre les risques liés aux vaccins.

[...]https://www.atoute.org/n/article309.html


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