lloreen 29 décembre 2018 12:27

Le fond du problème est, à mon humble avis, moins une question de lutte de « classe » que celle contre le crime organisé qui sévit sous plusieurs masques, dissimulé très longtemps sous les acronymes et les cellules servant au maintien du monde dans la division , condition sine qua non à sa mainmise internationale.

Au plus tard avec monsieur Macron il faudrait avoir compris ceci tant les preuves sautent au visage.Cette faune criminelle étant parvenue à la cime de quasiment tous les états, ses larbins royalement appointés ainsi que leur courtisans serviles sont si sûrs de leur impunité qu’ils s’affichent ouvertement dans la mesure où ils ont étouffé la voix de la dissidence en s’étant approprié les médias, qu’ils ont infiltré leurs agents à la tête de toutes les institutions ainsi noyautées de l’intérieur, l’affaire Sarkozy, le coup d’état du 5 décembre 2016, l’usurpation du pouvoir par l’associé-gérant des Rothschild et plus récemment l’affaire Benalla étant des cas d’école.

La France est encore sous contrôle dans la mesure où l’associé-gérant de l’escroc de la dette (Rothschild et sa clique de prédateurs) sévit encore toujours à la tête de l’état français d’où il nargue les français, appuyé par la milice privée de ses commanditaires, créée par une ex-ministre de la défense (de leurs intérêts), madame Alliot-Marie.

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/08/20/27859801.html

La solution au problème est surtout et avant tout le rétablissement le l’état de droit en France, bafoué par monsieur Sarkozy lors de la remise en cause du REFUS de l’adoption de la constitution européenne (traité de Lisbonne) par le referendum du 29 Mai 2005 à 55% des voix.

La France dispose d’un atout : la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui se situe à la plus haute place dans la hiérarchie des lois.


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